DO, diplômé en Ostéopathie en 1988 de l’ “European School of Osteopathy”, Maidstone. Renzo MOLINARI a occupé de nombreuses positions académiques :

-Co-fondateur du Collège Ostéopathique Français COF et du World Osteopathic Health Organization WOHO.
– Principal de l’European  School of Osteopathy, Maidstone (GB).
– Fondateur et Président du Osteopathic European Academic Network OSEAN.
– Co-fondateur Coordinateur européen de l’American Academy of Osteopathy AAO. (USA).
– Président du Council of Osteopathic Educational Institutions COEI (GB).
– Conseiller spécial à l’Université du Pays de Galles (GB).
– Président d’honneur du Collège Ostéopathique traditionnel Japonais à Kobe (JPN).

Il développe l’Institut MOLINARI de la santé à Londres et en Europe où il enseigne, post-gradue, en santé de la femme.

Il faut parfois bien longtemps pour découvrir et comprendre la Vraie Nature de ce que l’on pratique. Je ne désespère pas d’y arriver un jour : le geste simple qui convient, au travers de la structure à la rencontre de l’Etre.

J’aurai l’occasion de faire un retour sur ma formation et d’évoquer ma pratique. Ainsi je retournerai à la source de notre Art : sa philosophie, son système diagnostic et sa pratique, les trois composantes qui définissent un système médical.

L’Ostéopathie a besoin aujourd’hui de trouver la place qui lui revient. Pour la bonne santé de nos patients, nous devons encore batailler sans pour autant renier ce qui est essentiel dans notre Philosophie, nos concepts, et notre pratique.

Notre clinique d’éducation de la Sante de la Femme, à Londres, sert de référence à ce que nous pratiquons aujourd’hui. En effet, la mise en œuvre des principes philosophiques de notre Art se fait au service des femmes. Souvent, non écoutées, malmenées par des approches invasives non réversibles, elles ont souffert en silence pendant trop longtemps.

Je souhaite, lors de cette conférence, démontrer la nécessité d’une Ostéopathie pleine et entière. Cette Ostéopathie qui donne aux jeunes praticiens la vocation et la volonté, celles-là même que nos Anciens avaient chevillées au cœur et au corps à l’époque de la création du Registre des Ostéopathes de France.

“N’oublions jamais qu’il fallait être un peu fou pour faire un pas conscient vers l‘illégalité pour se nommer Ostéopathe et risquer des procès pour la pratiquer. Rendons-leur hommage”